en 6 minutes vous faites la différence entre la vie et la mort
Un arrêt cardiaque soudain peut arriver à n’importe qui, à n’importe quel moment et dans n’importe quel endroit. Une aide rapide est nécessaire : appelez d’abord le 112, commencez la réanimation et utilisez un DEA. Assurez-vous que l’appareil se trouve à proximité, afin que la victime puisse recevoir un choc en quelques minutes. Ce point fait toute la différence entre la vie et la mort.
Mais de combien de défibrillateurs votre environnement doit-elle disposer ? Qui doit être formé et comment indiquer où trouver les DEA ? Un audit vous permettra d’obtenir une analyse de votre situation et des recommandations concrètes pour rendre votre environnement plus sûr.
Chaque année, 11 000 Belges sont victimes d’un arrêt cardiaque soudain, soit 30 personnes par jour. Or, en moyenne, seules 3 personnes par jour survivent à leur arrêt cardiaque, soit 10 % des victimes.
Dans d’autres pays, le taux de survie est beaucoup plus élevé. Il ne faut même pas chercher loin : aux Pays-Bas, le taux de survie est de près de 30 %.
80 % des Belges ne savent pas comment réagir à un arrêt cardiaque soudain. Seule une petite partie des quelques 15 000 DEA disponibles en Belgique est accessible au public. Et les réseaux de secouristes ont du mal à s’étendre au-delà des frontières communales.
Trois éléments sont nécessaires pour assurer la sécurité cardiaque :
Pour sauver des vies, chaque seconde compte. Une couverture totale du réseau est donc… vitale.
Ensemble, nous rendons la Belgique plus sûre
En Belgique, plusieurs organisations souhaitent faire de notre pays un lieu qui garantit la sécurité cardiaque. Nous pouvons, dans certains cas, lancer des initiatives. Mais, de manière générale, les Belges n’ont pas assez conscience de la gravité de la situation. Et ils ne savent pas comment faire face à un arrêt cardiaque soudain.
C’est pourquoi certains acteurs des secteurs lucratif et non lucratif ont uni leurs forces pour aller plus loin. Leur objectif : sensibiliser tous les Belges, faire de l’ensemble du pays une « zone 6 minutes » afin que chaque victime puisse recevoir de l’aide dans ce laps de temps crucial, et augmenter considérablement les chances de survie.
À peine 15 000 DEA sont aujourd’hui disponibles en Belgique. Du reste, ils sont souvent conservés sous clé à l’intérieur. Et ils ne sont pas librement accessibles. Il convient pourtant de promouvoir la situation inverse. En mettant votre DEA à la disposition de tous les passants, vous faites la différence en tant que commune ou ville.